Pendant 17 ans je fus visiteur bénévole à la prison civile de Genève. Un jour, on me demanda de visiter un jeune détenu que le livre de Roger McGowen, mon ami du couloir de la mort, avait bouleversé (Voir Messages de vie du couloir de la mort, Editions Jouvence, 2003 et nouvelle édition revue et augmentée 2013). Roger y parle de l’impact si positif qu’eut sur lui la pratique de la bénédiction pendant une de ses périodes les plus difficiles dans le couloir de la mort (voir ci-dessous). Ce jeune avait lu le livre de Roger trois fois et versé de nombreuses larmes à son sujet.

En novembre 2005, ce jeune détenu m’écrivait, « Pierre, ton livre (sur Roger) est une merveille. Il ouvre mes yeux sur de nombreuses réalités. Il m’amène une grande joie et m’aide dans ma vie quotidienne. Depuis que j’ai lu ton livre, je bénis tout et tout un chacun sans interruption. J’ai l’impression qu’il porte ses fruits et j’en suis tellement heureux.

Je vais trouver un moyen de faire des photocopies du texte, Le simple art de bénir, et je vais le distribuer au plus grand nombre de détenus possible, car si tout le monde appliquait ce qu’il recommande, les choses changeraient rapidement. (Richard)