De plus en plus, on entend de tous les côtés des récits de guérison souvent très frappants par des approches non médicales étonnantes. Le récit suivant me fut raconté par un très cher ami belge et je peux en garantir l’authenticité. De plus en plus, dans les années à venir, ce genre de guérisons totalement non orthodoxes (selon l’orthodoxie matérialiste de la médecine dominante) se multiplieront, jusqu’à ce qu’elles deviennent un jour la nouvelle norme.

En 2001, une biopsie révèle que je suis atteint d’un cancer de la prostate. Le médecin me conseille une l’ablation de la prostate le plus rapidement possible.  Je prends cependant un temps de réflexion et lui dis que je préfère attendre avant de me décider pour une opération et la prise d’une série de médicaments.

Entre temps il me vient qu’il y a plus de cellules saines que de cellules malades en moi et je décide de me fonder sur cette santé fondamentale qu’il y a en moi. Puis je ne souviens qu’une cellule cancéreuse est comme folle. Elle croit sans limite. En somme, elle a perdu le sens. Or le sens pour moi c’est le Logos, le Verbe, le Christ qui unifie et structure tout le cosmos … Je prends donc conscience du Christ comme mon guérisseur. Et j’y ajoute une sorte de prière.

Il se trouve que j’aime beaucoup les alouettes qui prennent leur envol très haut dans le ciel et là chantent à tue-tête puis redescendent au niveau des humains pour reprendre encore dans les hauteurs leur chant merveilleux. J’imagine donc une alouette dans ma prostate qui chante les louanges du Christ. Elle entame son pépiement, elle chante inlassablement la gloire de Dieu. J’ai pratiqué ceci durant de nombreuses semaines. Plusieurs fois par jour j’imaginais mon alouette qui chantait à partir de cette prostate, pleine d’enthousiasme (PP : ce mot qui vient du grec  «en-Theos» et qui signifie «en Dieu») de joie et d’amour.

Après un temps, je mène avec un médecin adepte  de la «médecine nouvelle» une réflexion approfondie sur une situation de conflit intérieur qui aurait pu provoquer ce cancer et je mets fin au conflit intérieur par un pardon corps-esprit-âme, un pardon total accompagné d’un geste important allant dans le sens de la solution définitive de la situation conflictuelle.

Ensuite je vais voir mon médecin généraliste traitant qui finit par me dire, test PSA à la main, que je semble guéri. Le chirurgien lui écrit pour recommander l’opération immédiate, mais le généraliste étonné ne peut s’empêcher de constater ma détermination et l’apparente guérison qu’il ne s’explique pas.

Depuis, j’ai toujours sur mon bureau une petite alouette en argent qui me rappelle de célébrer le Seigneur «en tout temps et en tout lieu».
(Commentaire de Pierre: J’ai de nouveau retrouvé mon ami des années après la guérison, en 2010, et il était en parfaite santé).

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