Notre blog pour ce mois de novembre est reproduit de la Newsletter de Luc Bodin, Septembre 2022 et nous vous encourageons vivement à visiter son site https://luc-bodin.fr/

Note de Pierre : Luc Bodin est un de ces penseurs trop rares qui pensent en dehors de la boîte carrée du « système » qui cherche toujours comment mieux nous enfermer dans des boîtes de sardines mentales.

Ce qu’il dit sur la médecine est tellement fondamental. J’ai grandi comme un hypochondriaque et du jour au lendemain, à 33 ans, j’ai fait un revirement complet et j’ai adopté une médecine spirituelle extraordinairement efficace puisqu’en plus de 30 ans je n’ai eu recours à la médecine que pour des cas de paludisme contractés en Afrique, mais j’ai pu surmonter les dernières attaques spirituellement sans aucune prise de médicaments.

Vous aussi, vous pouvez vous libérer de cet esclavage mental moderne à laquelle est soumise toute une société, en grande partie grâce aux immenses pharmas qui dégagent des profits libéralement faramineux… à nos dépens. Alors cherchez un système médical alternatif qui vous convienne – vous n’avez que l’embarras du choix.


La Guérison

La médecine fait d’immenses progrès actuellement. L’immunothérapie a transformé les traitements et les pronostics de nombreux cancers. Des robots entrent dans les blocs opératoires remplaçant les chirurgiens. L’IA va devenir une aide précieuse pour les diagnostics des lésions cutanées (et autres) mais aussi pour l’interprétation des radiographies… La liste de ces progrès fantastiques est longue tant la recherche part dans tous azimuts.

Devant ces avancées technologiques, la médecine est devenue une science dans l’esprit de beaucoup. Les études réalisées, leur répétitivité et les bilans statistiques peuvent en effet porter à le croire. Cependant, lorsqu’un médicament présente statistiquement 80 % d’efficacité dans une indication déterminée, la médecine ne peut pas dire pourquoi les 20 autres pourcents échappent à son effet thérapeutique… Sans parler de l’effet placebo (30 % en moyenne des actions thérapeutiques) qui est aléatoire et échappe aux analyses et aux prévisions. D’autant qu’il existe aussi un effet nocebo. Pourquoi certains patients produisent un effet placebo alors que d’autres réagissent par un nocebo ? C’est un mystère imprévisible pour la médecine.

Quoi qu’il en soit, la science ne pourra jamais tout expliquer. Sera-t-il possible un jour de mesurer l’amour et son intensité ? C’est peu probable. Or, nous en avons tous ressentis les effets sans pouvoir l’expliquer scientifiquement. C’est pourquoi afin de réaliser des études significatives sur les problèmes de santé, la recherche scientifique devrait s’intéresser aussi à d’autres sources d’informations comme le ressenti, l’intuition et la clairvoyance. Nos anciens l’avaient bien compris lorsqu’ils disaient que la médecine était un art.

La médecine moderne présente aussi d’autres lacunes et non des moindres. Elle ne s’intéresse qu’à l’aspect matériel des maladies négligeant ce qu’il y a autour… c’est-à-dire l’être humain. De plus, elle étudie avec efficacité comment les maladies se produisent et non pourquoi elles surviennent, en s’arrêtant aux premières explications (germes, polluants, allergènes, réactions immunitaires…) sans chercher plus loin. Le corollaire de ce constat est que la médecine soigne mais ne guérit pas, parce qu’elle n’a pas touché l’origine profonde du problème. Dans certaines situations, elle donne l’impression d’avoir guéri la personne, mais ce n’est qu’une apparence. Elle a bloqué le mécanisme, voire supprimer l’agent causal apparent sans aller plus loin. C’est ainsi que de nombreuses maladies perdurent et nécessitent des traitements constants, et que d’autres disparaissent mais ressurgissent ultérieurement sous une forme ou une autre.

L’origine de la maladie se trouve dans le mal-être, le sentiment d’insatisfaction ou de tristesse inhérent à beaucoup de personnes vivant dans cette société matérialiste. La maladie est un messager indiquant une souffrance intérieure. Le type de maladie et sa localisation en expliquent symboliquement la nature. Mais derrière cela se trouve une souffrance de l’âme parce que la personne ne suit pas les aspirations de son être et qu’elle n’est pas sur sa route. La maladie n’est pas une punition… ni un problème… c’est un message à comprendre pour réaliser les changements que l’être intérieur demande… Ceux-ci vont remettre la personne sur son chemin… le chemin du bonheur qui la conduira vers la lumière.

C’est pourquoi ce ne sont jamais les médecins ou les thérapeutes qui guérissent les malades. Ce sont les personnes malades elles-mêmes qui en écoutant leur cœur, leurs intuitions et leurs ressentis vont modifier leur mode de vie et leur manière de penser. Les médecins et les thérapeutes quant à eux, vont les accompagner et les aider sur ce chemin.

Mais attention aux « faiseurs de miracles » (de plus en plus nombreux aujourd’hui) qui guérissent le corps sans guérir la conscience et surtout sans guérir l’âme…

Luc Bodin


Et de Pierre, une Bénédiction pour les médecins, tirée de son livre 365 Blessings to heal myself and the world

Avec l’avènement de la médecine moderne, en particulier dans la période d’après-guerre, le public a placé les médecins sur un piédestal – une position dangereuse que beaucoup ont acceptée de bon gré. Mais avec l’arrivée de nombreuses formes de soins médicaux alternatifs et la prise de conscience croissante par beaucoup que personne d’autre ne peut porter la responsabilité ultime de la santé d’une personne que cette dernière (à l’exception de situations particulières comme, par exemple, les enfants nés avec des anomalies et quelques autres), les médecins doivent s’adapter rapidement au changement. Dans le même temps, des développements très encourageants ont eu lieu ces dernières années dans les programmes des écoles de médecine, ce qui est de bon augure pour leur capacité à s’adapter aux nouvelles tendances.

Nous bénissons les médecins dans leur capacité à redécouvrir leur pratique avant tout comme une forme de service public plutôt que comme une source de revenu confortable.

Nous les bénissons dans leur capacité non seulement à accepter mais à encourager la demande d’un nombre croissant de patients d’être essentiellement responsable de leur propre santé.

Puissent-ils apprendre à résister à la tentative constante des intérêts pharmaceutiques d’imposer leur le dernier médicament miracle, sachant que le mode de vie, la pensée et l’environnement, plutôt que les médicaments, sont la principale source de santé.

Puissent-ils être amenés à prendre le temps de vraiment écouter chaque patient avec une attention et une compassion profonde et authentique, en réalisant que la guérison de la racine d’un problème peut nécessiter davantage que la rédaction d’une ordonnance.

Et puissent tous les médecins découvrir avec humilité et gratitude ce qu’un nombre croissant de leurs collègues ont déjà compris, à savoir que dans leur travail de guérison, ils ne sont qu’un instrument de la Vie et une transparence de son étonnante capacité à guérir toute dysharmonie, quelle qu’elle soit.